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LA SHINÉMATHÈQUE

LA SHINÉMATHÈQUE

« La connaissance s'accroît en la partageant. »

OSS 117 : Le Caire, nid d'espions

OSS 117 : Le Caire, nid d'espions
Réalisé par Michel Hazanavicius, sorti le 19 Avril 2006

Avec Jean Dujardin, Bérénice Bejo, Aure Atika, Richard Sammel, Abdallah Moundy, Arsène Mosca, François Damiens, Philippe Lefebvre ...

"Égypte, 1955, le Caire est un véritable nid d'espions.Tout le monde se méfie de tout le monde, tout le monde complote contre tout le monde : Anglais, Français, Soviétiques, la famille du Roi déchu Farouk qui veut retrouver son trône, les Aigles de Kheops, secte religieuse qui veut prendre le pouvoir. Le Président de la République Française, Monsieur René Coty, envoie son arme maîtresse mettre de l'ordre dans cette pétaudière au bord du chaos : Hubert Bonisseur de la Bath, dit OSS 117 (Jean Dujardin)..."




Mon avis
(grand film) :
L'image “http://i184.photobucket.com/albums/x158/GeniusTF/icon_bof.gif?t=1201078413” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.




Si OSS 117 connaît aujourd'hui un formidable regain de popularité grâce à l'association de choc entre Michel Hazanavicius et Jean Dujardin,  le personnage est loin d'être une invention récente. En effet, c'est en 1949 que le romancier Jean Bruce publie la première aventure de célèbre espion français. De fait, et contrairement à ce que l'on pourrait croire, ce cher Hubert Bonisseur de la Bath n'a donc pas été imaginé comme une réponse hexagonale à l'illustre agent britannique au service secret de Sa Majesté puisque ce n'est qu'en 1952 que James Bond naîtra dans une propriété jamaïcaine appartenant à un certain Ian Fleming. Du coup, on en viendrait presque à penser que c'est a contrario l'écrivain anglais qui s'est justement inspiré du héros créé par Jean Bruce pour élaborer le sien (hypothèse tout à fait discutable, mais qui expliquerait la troublante analogie entre le nom de code d'OSS 117 et celui de 007). Du coup, s'il semble assez logique que Jean Dujardin ne soit pas le premier à revêtir le costume en alpaga de l'espion français (de nombreux comédiens ayant déjà endossé le rôle dans la dizaine de films sortis auparavant, dont Michel Piccoli), il est déjà plus surprenant d'apprendre que la première adaptation cinématographique date quand même de 1957 : OSS 117 n'est pas mort de Jean Sacha (soit près de cinq avant que Terence Young ne réalise le premier long-métrage issu de la saga James Bond). Ce n'est que par la suite – et étant donné l'extraordinaire succès de James Bond contre Dr. No et de ses nombreuses séquelles – que les autres films mettant en scène OSS 117 tendront à se rapprocher de l'esprit de ceux produit par Albert R. Broccoli (le noir et blanc faisant aussi progressivement place au Technicolor). Toutefois, si les précédentes aventures du bien-nommé Hubert Bonisseur de la Bath adoptaient (à l'instar de celles de James Bond) un ton tout à fait classique de film d'espionnage (du moins, si j'en crois les critiques ; n'ayant pour ma part qu'un souvenir assez vague et lointain des deux ou trois longs-métrages que j'ai eu l'occasion de voir), les producteurs Éric et Nicolas Altmayer ont clairement opté pour une version ouvertement parodique du personnage (différenciant ainsi totalement le héros français de son homologue britannique qui amorçait, la même année,  un changement de cap majeur avec le très sérieux Casino Royale de Martin Campbell).

Il leur a ensuite suffit de confier le projet entre les bonnes mains de ces deux spécialistes du genre que sont le réalisateur Michel Hazanavicius (déjà à l'origine des totalement cultes films de détournement Le Grand Détournement ou la Classe Américaine ou encore Derrick contre Superman) et son complice de la fameuse chaîne cryptée, Jean-François Halin (qui, avec ses acolytes Bruno Gaccio et Benoît Delépine, fut à l'origine des plus belles années des Guignols de l'info dans les années 1990). Tout comme il aurait été franchement préférable de  réactualiser sensiblement l'imagerie d'un Tintin au Congo s'il avait été question d'en faire un film aujourd'hui, la mythologie d'OSS 117 a ainsi dû se plier à un sérieux dépoussiérage. Le scénariste Jean-François Halin explique d'ailleurs assez bien ce nécessaire détournement des codes régissant les romans d'origine : « ils contiennent tout ce qui fut la France des années cinquante, la quatrième République, la fin de l'empire colonial, un rapport à la femme assez macho, assez misogyne, mais aussi une certaine condescendance vis-à-vis des peuples colonisés. Ces éléments ne sont certainement pas le reflet de la personnalité de Jean Bruce, mais l'expression d'une époque. Je pense que Jean Bruce aurait le recul nécessaire pour rire de ce film. Il n'était pas pensable de redonner vie à son œuvre en respectant son premier degré original, notre monde a trop changé ! Alors j'ai tout repris et tout accentué pour montrer aussi que beaucoup de ce qui fait notre société aujourd'hui est issu de ce temps-là. ». L'intelligence de l'équipe en charge d'OSS 117 : Le Caire nid d'espions est d'abord d'avoir su s'éloigner avec suffisamment d'humour des stéréotypes désuets de cette période tout en lui rendant un généreux hommage à travers une "reconstitution d'époque" criante de vérité. Artistiquement parlant, le long-métrage de Michel Hazanavicius est effectivement d'une très grande classe ; celui-ci parvenant parfaitement à restituer l'esthétique si caractéristique des grands films d'espionnage sortis au milieu du siècle dernier. Un soin tout particulier a ainsi été porté à la pellicule et la photographie.

OSS 117 : Le Caire, nid d'espions
"OSS 117 : Un peu de Sean, et beaucoup de conneries"

Le film s'ouvre d'abord sur les logos de Gaumont et Mandarin Films (malicieusement revisités "à l'ancienne"), avant d'enchaîner sur un magnifique prologue en noir et blanc riche de contrastes soignés (comme à la grande époque du film noir)se déroulant à bord d'un bombardier de la Luftwaffe où, présenté comme une figure héroïque de la résistance, notre espion se retrouve confronté à des officiers nazis se singularisant par l'accent allemand très caricatural avec lequel ils s'expriment en français. Vient ensuite l'irrésistible générique psychédélique de Laurent Brett (dans la pure tradition des travaux de Maurice Binder, en charge des premiers génériques de la saga James Bond, et de Saul Bass, fidèle compagnon d'Alfred Hitchcok qui signa notamment celui de La Mort aux trousses) et sa musique très "marquée" années 1950 (le reste de la bande originale composée par Ludovic Bource et Kamel Ech-Cheikh étant toute façon extrêmement soignée), puis le film entame enfin sa fameuse partie cairote (et son fameux « gratin »)dans une ambiance reproduisant fidèlement les spécificités colorimétriques du Technicolor et son inimitable image granuleuse (l'ombre de La Mort aux trousses n'est décidément pas très loin). Tout ceci confère au film un appréciablerendu visuel rétro que vient enrichir une imagerie sentant bon l'exotisme de pacotille. Pour ceux qui ne sont pas coutumiers des "codes" propres aux productions de l'époque, le résultat pourra sembler vieillot et dépassé, mais sachez que c'est parfaitement voulu et assumé. En revanche, les autres ne pourront que se délecter de ces décors en carton-pâte, ces costumes parfaitement cintrés, ces maquettes d'avions ringardes, ces combats aux chorégraphies improbables (le must étant celui dans la chambre d'hôtel qui renvoit directemment à la plus belle époque des James Bond et ses armes en toc, tendance Bons baisers de Russie) ou encore ces trucages délicieusement datés (comme lorsqu'un simple écran défilant en arrière-plan suffisait à nous faire croire qu'une voiture – ou même une mobylette ! – roulait à toute allure tant bien même le brushing de l'acteur ne bougeait pas d'un cheveu).

Débordant d'ingénieuses trouvailles visuelles (la séquence sous-marine avec cette armée de squelettes durant laquelle OSS 117 parvient de façon complètement surréaliste à échapper à la noyade est une pure merveille), le réalisateur rend immédiatement palpable cette irrésistible ambiance rétro grâce à d'audacieux choix esthétiques et une remarquable rigueur dans le détail. Bien plus proche dans l'esprit d'un film comme Le Magnifique de Philippe de Broca avec Jean-Paul Belmondo (auquel on ne finit plus de comparer Jean Dujardin depuis ce film) que d'un Austin Powers de Jay Roach avec Mike Myers, OSS 117 : Le Caire nid d'espions propose de ce fait une reconstitution qui se veut à la fois exagérée et fidèle à une certaine vision de l'époque ; ne se contentant pas seulement de parodier le cinéma (et notamment Hitchcock avec une course-poursuite digne de L'homme qui en savait trop), mais proposant également quelques jolis emprunts détournés à l'univers de la bande-dessinée. Il ainsi presque impossible de ne pas penser à Tintin et les Cigares du Pharaon lorsque OSS 117 se perd dans les ruelles labyrinthiques d'un Caire ô combien pittoresque ou de songer à Astérix et Cléopâtre lorsque notre héros se retrouve pris au piège d'une redoutable pyramide. Visuellement irréprochable, OSS 117 : Le Caire nid d'espions est, non seulement une enquête policière habile, mais également un délice comique de chaque instant qui excelle dans  de nombreux registres humoristiques (absurde, burlesque, décalé, parodique, graveleux ou même potache) et fait très souvent mouche. Les dialogues sont ainsi d'une incroyable drôlerie (« C'est quand même bien mieux une voiture propre non ? À l'occasion, je vous mettrai un petit coup de polish...» ) et beaucoup sont destinés à devenir cultes (pour votre plus grand plaisir, l'ami Vlad s'est d'ailleurs chargé d'en retranscrire une bonne partie sur son blog).

OSS 117 : Le Caire, nid d'espions« Tu embrasses toute ta famille pour moi d'accord ?! Combien tu as d'enfants ? Huit ? Neuf ? »

On apprécie d'ailleurs grandement les bonnes répliques de poseurs typiques des héros de l'époque que balance à tour de bras − et avec le plus grand sérieux ! − notre cher Hubert Bonisseur de la Bath (« Auf Wiedersehen Colonel et merci d'avoir choisi OSS 117 Airways ! » ou bien le déjà mythique « J'aime me battre ! » et sa variante « J'aime me beurrer la biscotte. ») . Les amateurs de "l'esprit Canal" ne seront pas déçus non plus avec des passages totalement loufoques (à l'image de ce "combat de coqs" grandeur nature)et à un recours à l'absurde qui n'est pas sans rappeler certains sketchs des Monty Pythons (la scène où les différents exploitants agricoles internationaux échangent  des  lieux communs improbables en forme de faux sous-entendus secrets est d'ailleurs un véritable monument de non-sens désopilant !). Et si certaines répliques prononcés par notre cher agent secret pourraient faire grincer bien des dents à brûle-pourpoint (le politiquement correct étant formellement exclus, personne n'est épargné), le long-métrage de Michel Hazanavicius cloue le bec à ses éventuels détracteurs dès les premières minutes en affichant un second degré de rigueur qui ne le quittera plus jusqu'au générique final. De par la nature même de son héros, OSS 117 : Le Caire nid d'espions ne peut honnêtement pas être taxé de racisme, d'homophobie ou de tout autre forme d'humour douteux ; ce très cher Hubert Bonisseur de La Bath ne pouvant décemment pas pris au sérieux. Totalement bourré de clichés co­lo­nia­listes et mi­so­gynes en plus d'être condescendant, rétrograde et doté d'un patriotisme particulièrement chauvin (il n'oublie d'ailleurs jamais de remercier les autochtones en leur distribuant ses précieuses photos du Président Coty en guise de pourboire), OSS 117 est pourtant celui que les services secrets français ont choisi d'envoyer au Caire pour « confortez les positions de la France, instaurez la paix en Égypte » et « sécurisez le Proche Orient » ; et ceci grâce à sa très connaissance en la matière et une intuition hors du commun.

Des facultés toutes relatives que notre grand « spécialiste du monde arabo-musulman »  (« arabo... ? ») manifeste à sa manière "typiquement française" (comme lui fait remarquer l'incisif Larmina El Akmar Betouche) en se moquant du nom de la belle égyptienne (Bonnisseur de La Bath, c'est nettement moins compliqué !), en dénigrant une langue parlée par des millions (« des millions ? ») d'individus dans le monde (« Le problème avec l’arabe, c’est que ce n’est pas facilement lisible. Même au niveau du son. »), en  allant tabasser à l'heure de la première prière le muezzin qui a osé le réveiller si tôt, en faisant une immense bourde diplomatique à propos du Canal de Suez (qui – ironie suprême sera justement nationalisé l'année suivante, en 1956), en ironisant sur la durée de vie d'une religion interdisant l'alcool à ses fidèles ou en donnant des leçons de vie à un haut responsable égyptien (« On est en 1955 les gars, faut se réveiller  ! Les ânes partout, les djellabas, l’écriture illisible… Il s’agirait de grandir. »). Incompétent jusqu'au bout des ongles, l'agent secret français ira même jusqu'à castagner deux ou trois fois un collège infiltré sur place en pensant être accosté par l'ennemi (à cause d'une sombre histoire de « blanquette »). Le portrait du personnage peut sembler dur, mais celui-ci est finalement plus bête que méchant. OSS 117, c'est surtout un grand gamin un peu crétin (avec l'aplomb d'un Cary Crant toutefois) qui agit avant de réfléchir (faisant le mariole sur la piste alors qu'il devrait faire profil bas), s'émerveille d'un rien (même au sein d'un poulailler), et balance tout ce qui lui passe par la tête sans se soucier des conséquences (du moment qu'il garde classe et élégance, et que les voitures restent bien propres). Agissant toujours avec le plus grand sérieux, et en décalage total avec les autres personnages (se passionnant finalement plus pour son exploitation agricole que pour sa véritable mission), notre héros est perpétuellement tourné en ridicule et n'en devient que plus attachant.

OSS 117 : Le Caire, nid d'espions« Il serait bon que vous m'appreniez deux-trois rudiments d'arabe pour ce soir que je passe inaperçu. »

À travers lui, le film se moque avec beaucoup de dérision de la vision du monde que pouvaient alors avoir certains occidentaux (le décalage historique entre le regard d'aujourd'hui et la vision d'hier accentuant d'autant plus la caricature). Les certitudes et la naïveté de cet agent secret 100 % français reflètent celles de toute une époque peu glorieuse, mais désormais révolue (ou peut-être pas ...) – et en démontrent toute l'absurdité. Paradoxalement, le long-métrage parvient également  par le biais du détournement et de la parodie à s'aventurer dans un politiquement incorrect comme on n'en voyait plus depuis des années (que ceux qui trouvent le film encore trop sage se rassurent, le suivant va encore plus loin) ; de nouveaux tabous substituant les interdits d'autrefois (à l'image de cette ambiguïté que cultive le film quant à la sexualité du héros à travers moultes souvenirs d'amitié virile explicites et autres sous-entendus douteux – et qui n'est pas sans évoquer les trésors de suggestion que les réalisateurs devaient imaginer à l'époque pour contourner la censure et imposer leur message). Mais si OSS 117 : Le Caire nid d'espions aboutit aussi brillament à cet humour salvateur qui fait plaisir à voir et à entendre, c'est en grande partie grâce à son indispensable pièce maîtresse : Jean Dujardin. Parfaitement crédible en agent secret, il incarne avec une grande justesse, beaucoup d'élégance et énormément de charisme un personnage auquel il donne une dimension exceptionnelle. D'une simple mimique (un haussement subtil de sourcils, un regard évocateur, un sourire idiot) ou d'une seule attitude (un coup de main qui recoiffe instantanément, un mouvement de corps inutile entre chaque arrêt durant une poursuite), l'acteur provoque l'hilarité. Et on ne peut que se régaler de ses irrésistibles rires gras forcés et de sa reprise déjà culte de "Bambino" en arabe dans le texte ! Finalement remporté par François Cluzet pour son rôle dans Ne le dis à personne de Guillaume Canet, le César du meilleur acteur 2007 lui a échappé de peu.

En tant qu'icône "jamesbondienne", Hubert Bonnisseur de la Bath ne serait évidemment pas ce qu'il est sans la nécessaire touche féminine de glamour et de sensualité. Celle-ci est  principalement assurée par la ravissante Bérénice Béjo, dont avait déjà pu apprécier la fraîcheur en 2000 dans Meilleur espoir féminin de Gérard Jugnot, et la scupturale Aure Atika en Princesse nymphomane. Bien que très jolies, les deux comédiennes ont tout de même un peu de mal à trouver leur place à côté d'un Jean Dujardin aussi impérial et ne parviennent pas toujours à s'imposer au-delà de leur simple statut de faire-valoir sexy (surtout le personnage d'Aure Atika qui est peut-être un peu trop archétypal à mon goût, son rôle n'offrant pas autant d'intérêt que la femme moderne et instruite qu'incarne Bérénice Béjo). Quoi qu'il en soit, et compte-tenu du parti-pris du film
(car en même temps, ça reste tout à fait dans l'esprit des productions de l'époque), j'ai plutôt bien apprécié leurs personnages (et pas seulement pour la qualité plastique des actrices lorsqu'elles apparaissent en petite tenue... ^__^). Même si ce sont davantage les autres personnages secondaires qui ont retenu mon intention. À l'instar des bons vieux films d'autrefois, les comédiens choisis ont franchement la gueule de l'emploi ; les méchants en particulier garantie 100 % d'origine. En effet, Youssef Hamid campe un intégriste religieux typique des comédies d'autan, alors que Richard Sammel en nazi  exigeant "une seconde chance" semble tout droit sorti d'une aventure d'Indiana Jones (à moins qu'il ne s'agisse de Papa Schultz, mes souvenirs s'égarent). Un simple coup d'œil suffit ainsi au spectateur pour comprendre qui est qui et qui fait quoi ; l'agent secret français étant bien entendu (et pour notre plus grand plaisir) nettemoins moins perspicace. Finalement, je n'ai pas grand chose à reprocher à ce film, si ce n'est une légère baisse de rythme par moment ; un petit défaut, tout à fait excusable pour un spectacle déjà si réjouissant, mais que parviendra tout de même à corriger sa suite indirecte, OSS 117 : Rio ne réponds plus, en réussissant l'exploit d'être à la fois plus drôle et plus accompli (la chronique de ce film étant prévue ici-même dans les quelques jours qui viennent). Pourvu que ça dure !



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E
un bon premier film qui mêle habilement comédie et espionnage: jean dujardin se révèle excellent en personnage crétin, raciste, macho et homo refoulé.Perso, j'ai trouvé la suite encore meilleure.
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S
<br /> <br /> Bonsoir Olivier,<br /> <br /> Je te rejoins entièrement sur Rio ne répond plus que j'ai trouvé largement meilleur également ! <br /> <br /> Amicalement,<br /> <br /> Shin.<br /> <br /> <br /> <br />
C
Je sors d'OSS 117 à Rio... j'ai adoré. Je n'ai pas encore vu le premier de la série (encours ?). Je mettrais un commentaire quand tu mettras un article sur OSS 117 à Rio, et dire tout le bien que je pense de ce dernier ^^
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S
<br /> <br /> Bonsoir Captain,<br /> <br /> Je suis ravi que tu ais adoré le dernier OSS 117 toi aussi ! <br /> <br /> Bien entendu, je ne manquerai pas d'en parler ici dès que possible. Mais, comme tu as sans doute pu le remarquer, mon blog tourne un peu au ralenti ces temps-ci... J'espère pouvoir y consacrer<br /> davantage de temps d'ici cet été.<br /> <br /> Actuellement, j'ai un peu envie de penser à autre chose pour être honnête... <br /> <br /> Amicalement,<br /> <br /> Shin.<br /> <br /> <br /> <br />
M
Tout simplement un des meilleurs comédies françaises de ces 20 dernières années (ouais, carrément !). Un rôle sur mesure pour Dujardin, des dialogues et des situations décalés, une réalisation soignée... Du tout bon !
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V
Salut Steph',Comme promis je passe sur ton blog pour lire ta chronique d'OSS 117. Je suis assez d'accord avec toi sur ce film que j'ai découvert récemment comme tu le sais. J'ai quand même vachement hâte de voir la suite qui à t'entendre à tout pour me plaire.A bientôt,Vlad
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:
Excellent, samedi je vais aller le 2ème.
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