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LA SHINÉMATHÈQUE

LA SHINÉMATHÈQUE

« La connaissance s'accroît en la partageant. »

Dracula

Dracula
Réalisé par Tod Browning, sorti le 12 février 1931 aux États-Unis

Avec Bela Lugosi, Helen Chandler, David Manners, Dwight Frye, Edward Van Sloan, Frances Dade, Herbert Bunston, Joan Standing ...

"Renfield (Dwight Frye), chargé de conclure une transaction immobilière avec le comte Dracula (Bela Lugosi), se rend dans son château des Carpates, où l'aristocrate, qui s'avère être un vampire, va l'hypnotiser pour le mettre sous ses ordres. Débarqué en Angleterre, Dracula ne tarde pas créer de nouveaux semblables parmi la société locale en commençant par la jeune Lucy (Frances Dade), fille du directeur de l'asile......
"




Mon avis
(très bien) :
L'image “http://i184.photobucket.com/albums/x158/GeniusTF/icon_bof.gif?t=1201078413” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.




C’est en 1897 que paraît le roman marquant la naissance du plus célèbre des vampires : Dracula. Néanmoins, et malgré toutes les qualités de l’œuvre écrite par Bram Stoker, c’est par l’intermédiaire du cinéma que le personnage accédera durablement à la postérité. Mis en scène dans plus de deux cents films (de manière plus ou moins officielle), traversant toutes les décennies et tous les continents, le prince de la nuit va ainsi progressivement s’imposer comme la plus grande icône que le cinéma fantastique ait connue. Effrayant, horrible, sanglant, érotique, comique ou même parodique, le mythe de Dracula aura été traité de bien des façons dans les différentes adaptations cinématographiques, souvent très libres, lui ayant été consacrées. Datant de 1921, la première version connue (La Mort de Dracula), réalisée de manière toute à fait officieuse par le hongrois Károly Lajthay (et à présent considéré comme définitivement perdue), n’aura malheureusement pas le temps de laisser son empreinte sur le septième art que sortait déjà le célébrissime Nosferatu le vampire. Également réalisé en l’absence de toute autorisation, le film de Friedrich Wilhelm Murnau connut, comme on le sait, un succès retentissant et demeure, aujourd’hui encore, l’un des plus grands monuments du film muet. Ce n’est pourtant qu’en 1931 que sortit la première véritable adaptation (officielle, tout du moins) de Dracula. Réalisé par Tod Browning (le même qui signera l’année suivante le mythique Freaks, la monstrueuse parade), ce long-métrage produit par la firme Universal va, en tant première grande production fantastique sonorisée de l’ère du parlant, marquer un tournant fondamental dans l’histoire du cinéma de genre américain. Et dès lors, plus rien ne sera jamais comme avant.

Sous l’impulsion de Carl Laemmle Jr, Universal se lance donc dans l’exploitation des grandes figures mythologiques qui bâtiront, au fil du temps, la légende des studios. Si le succès du film F. W Murnau en Europe au début des années 1920 constituait déjà un signal fort, le triomphe de la pièce de théâtre inspirée du roman de Bram Stoker à Broadway en 1927 a confirmé l’étendue de la fascination que les vampires exercent sur le public. Cette même année, les grands pontes d’Universal s’emparent donc logiquement des droits du livre de Bram Stoker afin de procéder à leur propre adaptation cinématographique ; la première du genre à être réalisée avec l’autorisation des ayant-droits du romancier, même si cette relecture moderne s’avérera là encore assez libre. L’idée lumineuse consiste alors à faire appel au formidable couple cinématographique que forment le réalisateur Tod Browning et son acteur fétiche Lon Chaney (qui avaient alors notamment œuvrés ensemble sur Le Club des trois, L’Inconnu ou encore Londres après minuit ; des films aujourd’hui considérés comme perdus ou malheureusement introuvables en France). Capable des transformations physiques les plus saisissantes (Le Bossu de Notre-Dame, Le Fantôme de l’Opéra, Ris-donc Paillasse), doté d’un charisme à toute épreuve et d’un sens du jeu inné, celui qui hérita naturellement du surnom de "l’homme aux mille visages" (c’était de surcroît un génie du maquillage) semble être le comédien rêvé pour camper le mystérieux compte transylvanien. Malheureusement, un cancer est en train de l’emporter (il décèdera avant même la sortie du film de Tod Browning) et le personnage doit alors trouver un autre interprète à sa mesure.

http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/rsz/434/x/x/x/medias/nmedia/18/36/15/65/18887558.jpg« I never drink… wine. »
(« Je ne bois jamais… de vin. »)

Réduction de budget oblige (les deniers investis ayant été sensiblement revus à la baisse suite à la crise économique de 1929), Carl Laemmle Jr. n’a de toute façon plus vraiment les moyens de se payer une "tête d’affiche" et n’a pas d’autre solution que faire confiance à un "illustre inconnu" fatalement moins gourmand, financièrement parlant. Or, il s’avère justement qu’un obscur acteur hongrois (tout comme le premier à s'être intéressé au mythe, un certain Károly Lajthay) à l’accent étrange et au regard effrayant terrorise au même moment les spectateurs venus voir la fameuse pièce de théâtre à succès inspirée du livre de Bram Stoker qu’ont écrite Hamilton Deane et John L. Balderston (d’ailleurs plus largement utilisée ici comme point de référence que le roman original). Le pari est osé car, même s’il connaît le personnage sur le bout des doigts pour l’avoir interprété des centaines de fois sur les planches, le comédien en question n’a alors qu’une très maigre expérience cinématographique – il tournera toutefois sous la direction du même Tod Browning en 1929 à l’occasion de son premier film parlant, The Thirteenth Chair – et une maîtrise de la langue de Shakespeare pour le moins approximative. De qui s’apparentait donc à une faiblesse apparente, Tod Browning va en fait y puiser l’une des plus grandes forces de son long-métrage puisque, à la vue du résultat, Bela Lugosi (puisque c’est bien de lui qu’il s’agit) semblait manifestement tout indiqué pour tenir le rôle. Avec son sourire enjôleur, son regard pénétrant, son étrange magnétisme et son charisme transylvanien, qui d’autre que lui aurait pu camper un Dracula plus authentique ? Pour qui découvre le film, la toute première apparition du compte enveloppé de sa cape noir à l’intérieur de son immense château poussiéreux d’inspiration gothique (véritable tanière où se terrent araignées géantes, énormes rats et autres tatous ; ces fameuses bestioles... d'Amérique du Sud !) ne peut d’ailleurs que susciter la fascination !

Contrairement à la vision cauchemardesque de F. W. Murnau que représentait le difforme comte Orlock (incarné alors par Max Schreck), celui-ci se présente tout d’abord comme un élégant aristocrate à l’allure majestueuse et à l’ambiguïté manifeste. Personnage séduisant, charismatique et envoûtant, Dracula est aussi (conformément au roman) un être profondément rusé, calculateur et fourbe (« Je ne bois jamais… de vin. »). Bela Lugosi confère à son personnage un magnétisme et un pouvoir d’attraction impressionnants (un simple regard lui suffit pour plier ses victimes à sa volonté). Si l’interprétation pour le moins emphatique de l’acteur pourra décontenancer le spectateur habitué de nos jours à plus de retenue dans le jeu, en même temps qu’elle trahit l’origine théâtrale du métrage (on est souvent assez proche de l’art de la pantomime si cher au regretté Lon Chaney), elle lui confère parallèlement un climat d’étrangeté particulièrement saisissant. La lenteur de ses déplacements et celle avec laquelle il déclame ses répliques avec un redoutable accent de l’Est, l’inquiétante façon avec laquelle il articule ses gestes maniérés et la puissance hypnotique de ses regards appuyés ne peuvent qu’accroître sensiblement cette impression. Accentuant davantage encore le caractère livide de son visage (yeux sombres, teint blafard, cheveux noirs gominés), le maquillage de Jack Pierce (associé à la photographie de Karl Freund) fait des merveilles ; notamment lorsque la caméra s’attarde en gros plan sur le regard globuleux ou le sourire carnassier du personnage (lui conférant une étrange profondeur). Aussi daté que paraître le film, Bela Lugosi
impressionne par la sincérité de son implication (portant le rôle comme si ça vie en dépendait) et la puissance de sa composition (que renforcent largement une prestance naturelle incroyable et un timbre de voix inimitable). Il n’y a donc franchement rien d’étonnant à ce qu’il soit ainsi rentré dans la légende en tant que représentation ultime de Dracula dans l’imaginaire collectif (seul Christopher Lee pourra prétendre à lui disputer cette place par la suite); alors même qu’il ne montre jamais ses canines dans le film !

À ses côtés, le reste de la distribution n’est malheureusement pas aussi mémorable. Frances Dade (Lucy) est ainsi parfaitement transparente, tandis que le couple formé par Helen Chandler (Mina) et David Manners (Jonathan Harker) se caractérise surtout par sa déconcertante banalité. Pire, le personnage qu'interprète Edward Van Sloan (Van Helsing) se révèle même assez peu convaincant ; et ce en dépit d'une belle présence de l'acteur. Car si la sobriété de son interprétation distanciée tranche radicalement avec la jeu nettement plus démonstratif du reste du casting, il apparaît aussi comme effroyablement terne (notamment si on prend pour comparaison les prestations hallucinées futures d'un Peter Cushing chez Terence Fisher ou d'un Anthony Hopkins chez Francis Ford Coppola). Le manque d'intérêt suscité par les personnages est tout de fois moins à mettre sur le compte des acteurs que sur celui d'un scénario par trop nébuleux et elliptique. Davantage basée sur l’adaptation théâtrale que sur le roman de Bram Stoker, l'histoire narrée dans le texte initial est ainsi grandement simplifiée ; voire même parfois allègrement malmenée. Dans le prologue, le héros Jonathan Harker se substitue ainsi au personnage de Renfield (qui s'occupera donc des transactions immobilières du comte), et ne sera que bien trop chichement exploité par la suite ; Mina devient la fille du Docteur Seward ; Lucy est trop rapidement délaissée (plus proche d'une ébauche que d'un personnage à part entière, celle-ci est difficilement saisissable) ; Van Helsing est miraculeusement parachuter au cœur de l'intrigue sans réelle explication (si ce n'est raviver un peu une intrigue défaillante) ; Renfield apparaît de façon bien trop sporadique (sa cellule étant décidément très perméable)... Incarné par l'estimable – et bien trop souvent sous-exploité Dwight Frye (qui apparaîtra sous les traits de l'assistant Fritz dans le Frankenstein de James Whale, et sous ceux de Karl dans la suite qu'il réalisera), ce dernier se révèle toutefois très intéressant. La manière dans le personnage bascule de l'aimable candide propre sur lui ne comprenant pas vraiment les mises en garde des villageois à l'esclave tétanisant sombrant dans la folie intégrale est proprement remarquable. Plus encore que son regard possédé ou son rictus démoniaque, le ricanement démentiel de Dwight Frye résonnera longtemps après la séance dans l'esprit des spectateurs.
 
http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/rsz/434/x/x/x/medias/nmedia/18/36/15/65/18887560.jpg« Listen to them, the children of the night. What music they make… »
(« Écoutez-les, ces enfants de la nuit. Écoutez leur musique... »)

D'un point de vue plastique, la première partie du long-métrage est absolument réussie. Réalisés à l'aide de très belles peintures sur verre, certains décors impressionnent franchement par leur force évocatrice (et notamment cette petite route sinueuse du plus bel effet menant à l'antre de Dracula). Qu'il s'agisse de ce pittoresque village isolé des Carpates où vivent d'étranges autochtones, de ce lugubre château niché au sommet d'impressionnantes montagnes transylvaniennes ou de ces cryptes sombres où le comte entrepose son cercueil, la direction artistique fait des merveilles et confère au film un agréable parfum d'exotisme. À la fois tentée de poésie macabre et de gothisme cauchemardesque, la richesse de l'univers du film de Tod Browning influencera durablement l'esthétisme d'un genre tout entier (jusqu'à l'ambiance nocturne forcément brumeuse de rigueur). Parvenant à palier admirablement un manque flagrant de budget grâce à un travail sur les ombres particulièrement inspiré, la photographie de Karl Freund contribue à sublimer la splendeur des décors et à créer une atmosphère étrangement angoissante. La contribution inestimable de cet artisan majeur du cinéma expressionnisme allemand qui côtoya des cinéastes aussi prestigieux que Robert Wiene, Artur Berger (Frau Eva), Ernst Lubitsch (Intoxication), Paul Wegener, Carl Boese (Le Golem), F. W. Murnau (Le Dernier des hommes) ou encore Fritz Lang (Metropolis) fut incontestablement un atout majeur dans la réussite du projet (les contrastes de lumières obtenus sont vraiment saisissants). L'héritage du muet et l'origine théâtrale du film conféreront également à ce Dracula une atmosphère tout à fait à part, avec toutefois plus ou moins de réussite. Pratiquement dénué d'accompagnement musical (si ce n'est l'extrait du "Lac des Cygnes" de Tchaïkovski en introduction et quelques intermèdes mélodiques durant la scène du ballet), bon nombre des séquences du long-métrage prennent ainsi place dans un silence tendu et morbide qui, pareil à un  songe étouffant, contribue à installer une impression d'irréalité tenace. À ce titre l'éveil du comte et  de ses maîtresses cadavériques drapés de longues robes blanches flottantes dans une crypte désertique est proprement envoûtant.

Paradoxalement, l'incapacité de Tod Browning à utiliser une partition digne de ce nom amène par moment à de fâcheuses ruptures dans la tension dramatique du récit. Bien que visuellement efficace (Tim Burton reprendra d'ailleurs ce vertigineux escalier interminable à l'occasion de son court-métrage Vincent), la séquence finale dans l'Abbaye de Carfax manque tout de même singulièrement de panache (notamment lorsque les protagoniques "se cherchent" dans l'obscurité). En outre, cette absence relative de bande sonore se fait au profit d'une abondance de dialogues qui, dans la partie londonienne, peut parfois sembler pesante (d'autant que l'absence du magnétique Bela Lugosi se fait par moment cruellement ressentir). Avec leurs allures de théâtre filmé (mise en scène figée,  montage plan-plan, personnages déambulant dans de larges cadrages immobiles, unité de lieux), les longs passages explicatifs s'étirent laborieusement. Car, si l'utilisation du hors-champ permet au film de traverser les années sans apparaître comme terriblement daté (exception faite de ces chauve-souris de train-fantôme pour le moins saugrenues), l'explication systématique d'évènements à fort potentiel visuel (la métamorphose de Dracula en loup ou la mise à mort de Lucie, par exemple) s'avère tout de même quelque peu frustrante (tout comme ce final manquant singulièrement d'envergure et sentant la séquelle à plein nez ; ce qui sera d'ailleurs le cas). Malgré l'inertie dans laquelle le film plonge à mi-parcours, de belles trouvailles subsistent (à l'instar de ce miroir trahissant la nature du vampire où l'évocation ambiguë de Lucie dont les rapts supposés d'enfants, à l'aide de sucreries, ne peut que faire écho à d'autres évènements tragiques bien réels) et l'histoire demeure suffisament prenante pour que l'on apprécie, en dépit de quelques défauts regrettables et de ce manque flagrant de dynamisme, ce spectacle alliant l'épouvante et le raffinement avec une très grande classe ; certainement pas étrangère à la prestation inoubliable du charismatique Bela Lugosi (qui, s'il n'est pas le monstre de sexualité que sera Christopher Lee un peu plus tard, demeure incontestablement la plus touchante incarnation de Dracula). Pour la petite histoire, celui-ci retrouvera d'ailleurs Tod Browning une dernière fois en 1935 à l'occasion de La Marque du vampire (remake de son propre film, Londres après minuit, dans lequel apparaissait alors un certain Lon Chaney) ; la boucle étant ainsi bouclée de la plus belle des façons.


Films de Tod Browning chroniqués ici : Dracula ; La Marque du Vampire
Pour voir la bande-annonce du film : cliquez-ici   —  Pour voir d'autres chroniques de films : cliquez-ici

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J
Salut Shin, une nouvelle fois une critique très intéressante. J'adore ce Dracula, même si je lui avais trouvé quelques longueurs. Mais rien que pour l'atmosphère et le charisme de Lugosi...
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S
<br /> <br /> Bonsoir Jérôme et merci pour tes encouragements ! <br /> <br /> Il est vrai que le film de Tod Browning n'est pas exempt de longueurs, mais je pense que c'est assez pardonnable compte tenu de son ancienneté (près de 80 ans ! ). Après, comme tu le soulignes très bien, le film vaut de toute façon le coup d'œil ne serait-ce que pour son<br /> atmosphère particulièrement soignée et le charisme inimitable de Bela Lugosi...<br /> <br /> Amicalement,<br /> <br /> Shin.<br /> <br /> <br /> <br />
F
Je n'ai pas vu cette version de Dracula, mais je vais te faire confiance, ainsi qu'à Tod Browning qui m'a mis une claque avec son "Freaks".Alors si je tombe dessus, je dis banco !!!
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C
je n'ai jamais vu ce Dracula-là, mais uniquement celui de coppola, que j'ai littéralement adoré pendant des années. L'avoir revu a été un petit choc, tant le film a mal vieilli... Mais il a toujours le mérite d'avoir montré Dracula comme une historie d'amour et de folie...plus de sensibilité que beaucoup d'autres adpatations du roman ou de films s'inspirant du mythe de Dracula.
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S
<br /> <br /> Bonsoir Choupynette,<br /> <br /> J'ai revu le Dracula de Coppola récemment (au ciné qui plus est) et, curieusement, je n'ai absolument pas été gêné par son aspect visuel. Au contraire, je trouve son esthétisme<br /> toujours aussi élégant et les transitions concoctées par le maestro toujours aussi belles. Même les maquillages et les effets spéciaux, hormis quelques menus détails (la brume verte<br /> surtout), m'ont semblé résister plutôt bien aux ravages du temps.<br /> <br /> Pour le reste, je suis d'accord avec toi. C'est un très beau film (celui dédié aux vampires que je préfère du reste) qui offre un traitement tout à fait intéressant du mythe de Dracula.<br /> Et puis, Gary Oldman est proprement prodigieux !<br /> <br /> Amicalement,<br /> <br /> Shin.<br /> <br /> <br /> <br />
V
Coucou,Comme tu m'as dis que tu ne recevais aps de newsletter, je t'informe juste que j'ai fait un nouveau billet. J'espère que tu aura reçu le courrier dans tes mails en tout cas (tu as rien non plus dans courrier indésirable ?... Oui oui je peux être indesirable parfois :P ). Bref, je l'ai reçu dans ma boite donc pour le moment j'arrive pas a savoir pourquoi ca bug et c'est chiant.Sinon hier avec Cam on c'est fait interviewer et on a orienter vers ton blog pour qu'il viennent y jeter un coup d'oeil j'espère que ca te dérange pas ;)A bientôt, Vladps : Les trois royaumes vendredi ca te tente ?
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V
Le seul Dracula que j'ai vu, c'est celui de Copolla mais celui là à l'air pas mal. J'en ai entendu de bons echos donc pourquoi pas, je relirais ton avis au moment où j'aurais découvert ce film ^^Cinéphilement,Vlad
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S
<br /> <br /> Bonsoir Vlad,<br /> <br /> Une fois que j'aurai récupéré mon coffret, je te le prêterai bien volontier. J'espère qu'il te plaira. <br /> <br /> Amicalement,<br /> <br /> Shin.<br /> <br /> <br /> <br />